Auto-financement

Les débuts furent difficiles ; l’apport parental représentait alors presque l’essentiel. La somme dont disposait le groupe était répartie en deux enveloppes égales pour la semaine : le bateau, et le groupe (principalement sa nourriture). L’équipement était minimal.

Dès la seconde année (1970), les travaux sous-marins apportèrent un complément bienvenu. Mais, la plongée se vulgarisant, la concurrence devint dure. Le groupe se tourna vers l’accueil de touristes l’été (parents et amis). C'était rentable mais nécessitait une programmation des mois à l'avance. Difficile.
Le groupe se tourna alors vers les reportages avec articles et photos (Historia, Neptune Yachting, Grands Reportages, etc).

L’arrivée du Karrek Ven, en 80, obligea à trouver une source de revenus bien plus importante. Les reportages télévisés la lui offrirent (reportages sur le groupe et ses rencontres).
Les frais entraînés par les recherches archéologiques (matériel, concours extérieurs, datations) furent financés par les organismes concernés (en Martinique et Guadeloupe, à Tobago), et par des sponsors locaux.